Le Blended Learning est-il aujourd’hui la solution en entreprise ?

Cela fait longtemps que le terme blended learning est utilisé dans le vocabulaire de la formation et de l’enseignement. Pour autant, le blended learning – littéralement “apprentissage mixte” ou “apprentissage hybride”- n’a pas une définition à 100% consensuelle.

Qu’est-ce que le blended learning ?

Définition du blended learning

La plupart s’accordent à dire que le blended learning résulte d’une combinaison de séquences de formation en présentiel (en salle) et en ligne (e-learning). Si l’on va plus en détail, il repose sur le bon dosage entre formation en face à face et formation à distance, qu’elle soit synchrone (ex : classe virtuelle avec un animateur en ligne) ou asynchrone (ex : modules à suivre à son rythme sur une plate-forme LMS).

Le fondement du blended learning est donc le recours à des dispositifs de formation mixtes, complémentaires et aucunement opposables.

Origine et évolution de la méthode

Sans détailler les premiers cours par correspondance qui mêlent apprentissage individuel et échange avec le professeur, l’essor de l’ordinateur puis d’Internet dans les années 1990 a vu l’apparition du digital. Progressivement, le web a permis aux professionnels de la formation d’enrichir la formation classique en salle par l’ajout de modules d’e-learning, puis de webinaires, de vidéos pédagogiques, de quizz interactifs, de plateformes de social learning etc. Les précurseurs en France n’ont pas attendu la pandémie mondiale – qui a elle aussi participé à l’essor du blended learning – en boostant la formation à distance.

L’émergence de nouveaux outils et de nouvelles pratiques a également nécessité l’adaptation des formateurs, des apprenants et des équipes RH.

Le blended learning fait ainsi aujourd’hui écho à notre façon de travailler : il valorise la diversité d’approches, la personnalisation, l’autonomie et l’adaptabilité.

Quels sont les avantages du blended learning ?

La mixité des dispositifs de formation, qu’ils soient synchrones (les apprenants participent en même temps à une session de formation avec un formateur ou un coach) ou asynchrones (les apprenants suivent des modules en différé, à leur rythme), et ce, à distance ou en présentiel, est l’essence du blended learning.

Les principaux avantages sont les suivants.

Flexibilité dans le rythme d’apprentissage

Conjuguant apprentissage individuel et séances en groupe avec un formateur, l’apprenant a davantage de liberté pour suivre les modules en distanciel à son rythme, d’où il veut, en l’adaptant à son emploi du temps. Selon le modèle choisi, il peut également suivre les différents modules proposés dans l’ordre de son choix. Au lieu de passer 2 à 3 jours en présentiel avec tout cela suppose de difficulté d’organisation personnelle et professionnelle, les exercices individuels (tests, questionnaires etc.) et certaines connaissances à acquérir (en prérequis de la formation ou pendant le parcours) sont réalisés à distance grâce au digital, en amont ou entre des sessions de groupe, au rythme du stagiaire. L’un préférera optimiser son temps de transport en commun, l’autre se connectera à l’hôtel lors d’un déplacement, un troisième se ménagera un créneau à sa convenance au bureau ou en télétravail.

Engagement renforcé grâce à la diversité des formats

On le sait, mêler textes, vidéos, quizz, études de cas, exercices de simulations, travaux en individuel, en groupe ou sous-groupe rebooste la curiosité, l’attention et renforce les compétences.

Il est difficile de rester concentré·e en formation toute la journée, et a fortiori plusieurs jours d’affilée. Outre la diversité des exercices proposée par le formateur et la plateforme LMS, l’alternance présentiel / distanciel et travail individuel/ interactions en groupe facilite l’apprentissage par sa richesse et sa variété. Les formations étant plus dynamiques et engageantes, les apprentissages sont plus efficaces et la montée en compétences est significative.

Le blended learning rend également l’apprentissage plus durable grâce à l’alternance théorie / pratique. Il est plus facile de se familiariser avec des éléments théoriques à distance pour ensuite s’attacher à des exercices de mise en pratique en présentiel, avec un formateur qui saura répondre aux questions des apprenants.

Pouvoir aller à son rythme, revoir un module à distance si on le souhaite, accéder à des supports variés avec une présence humaine qui suit les acquis et répond aux interrogations, et bénéficier en plus de l’expérience et du vécu des autres apprenants du groupe est un véritable atout, gage du meilleur apprentissage.

L’efficacité pédagogique des formations est ainsi plébiscitée par les entreprises (cf. baromètre 2025 ISTF auprès de 400 professionnels de la formation en France) dont nous parlerons plus loin.

Optimisation des ressources en temps et en coût

Pour l’apprenant, réaliser une partie de sa formation à distance réduit bien évidemment le temps passé dans les transports pour assister à la formation et le temps d’hébergement. Si la dynamique de groupe en présentiel et l’accès à un formateur sont essentiels, de nos jours, les outils et le professionnalisme des animateurs permettent à des classes virtuelles d’avoir de véritables interactions et de travailler efficacement en sous-groupes sur la résolution de problèmes, même à distance. C’est particulièrement utile pour des personnes qui habitent loin des lieux de formation et dont l’organisation personnelle est propice au distanciel.

Pour l’entreprise, les coûts de formation en présentiel sont supérieurs, le plus souvent, aux coûts en distanciel. Sans parler du temps nécessaire à l’organisation de sessions de formation physiques, les frais peuvent être conséquents : frais liés au transport, à la restauration, à l’hébergement, à la location éventuellement de la salle, à la rémunération ou la récupération du temps de transport des apprenants etc. Ces coûts peuvent être rationalisés en se concentrant sur le présentiel nécessaire, c’est à dire à valeur ajoutée et non subi.

Tous gagnants ?

On le voit, le blended learning a de multiples avantages :

• Pour les apprenants, il permet une autonomie sans faire l’impasse sur un véritable accompagnement. Conjuguant modules à distance, séances en groupe et interactions avec le coach ou le formateur, la richesse du parcours et des outils renforce l’engagement.
• Pour les entreprises, il est gage d’efficacité tout en optimisant les coûts. Si l’audience est importante, il permet rentabiliser son investissement grâce aux modules en distanciel … sans céder à la qualité de l’animation.
• Et pour les formateurs, qui sont une part essentielle de la réussite du projet, le fait de permettre à l’apprenant d’acquérir une partie des connaissances en distanciel en autonomie lui permet de concentrer sur la valeur ajoutée de son métier : l’expertise et l’accompagnement par le partage de pratiques, l’entraînement.

Quelques bémols au blended learning

Les obstacles numériques

Tout le monde n’est pas égal face au digital via les outils numériques, que ce soit en termes de matériel, de connexion que d’aisance à l’utilisation. La partie distancielle peut donc mettre à mal certaines bonnes volontés qui n’ont pas toutes les compétences requises. Le décalage entre les différentes générations, certaines plus à l’aise et autonomes que d’autres dans l’utilisation d’outils informatiques peut jouer, comme l’accès à un réseau efficace.

N’oublions pas non plus que les nouvelles générations ou métiers itinérants plébiscitent le smartphone… le format doit en tenir compte.

S’assurer de la compétence des formateurs

On le sait, animer une formation en présentiel nécessite des compétences pédagogiques certaines. Au-delà de la maitrise du programme, il faut savoir intéresser, se mettre à la portée de tous, gérer les imprévus, respecter les horaires, faire participer, répondre aux questions etc.

La partie distancielle n’est pas différente et demande en plus une mise à niveau digitale pour utiliser à bon escient les différents outils que l’animateur a à disposition – quizz, sondage, tableau blanc, sous-groupes à distance, etc., en faisant face sans trop de stress aux éventuels soucis techniques qui ne manquent pas d’apparaitre, particulièrement lors des séances synchrones en distanciel.

Préserver l’interactivité

C’est là que la compétence du formateur fait la différence. Lorsqu’on est face à un module, ou même en classe virtuelle, il est difficile d’avoir une réponse immédiate à des questions que l’on se pose sur le moment.

De la même manière, échanger avec d’autres apprenants, créer des liens, avoir une dynamique de groupe, partager des expériences, etc. reste plus difficile en distanciel, même en classe virtuelle. Il manque par exemple les pauses café, lieu de partages informels, les discussions au déjeuner ou le soir en résidentiel pour découvrir autrement les collègues, etc.

E-learning, présentiel, classe virtuelle et video learning, ces modalités arrivent largement en tête des pratiques, que ce soit quand on interroge les entreprises ou les préférences des apprenants. C’est ce que nous enseigne la 11ème édition 2025 des chiffres de l’ISTF en matière de digital learning.

Ainsi, 37% des offres formation sont désormais majoritairement en blended learning, à part presque égale avec les 38% des offres en présentiel… pour améliorer l’efficacité pédagogique des formations, répondre à la demande des commanditaires et des apprenants, mais aussi réduire les coûts.

Si le blended learning est une tendance majeure depuis plus de 5 ans, est-il plus particulièrement adapté à certaines formations et lesquelles ?

À quels types de formations s’adapte le blended learning ?

Le blended learning est adapté pour quasiment tous les domaines d’apprentissage.
En effet, il permet d’introduire un sujet avec de la théorie via un module e-learning (vidéos, podcast, quiz préparatoire, …), puis de s’exercer et pratiquer en formation présentielle ou classe virtuelle.

Formations linguistiques

Cela fait plus de 20 ans que les plateformes permettent à chacun de suivre des programmes de langues à distance faisant appel aux différentes techniques (quizz, videos, exercices divers…) complétés de classes virtuelles ou de cours individuels avec un formateur.

Formations en soft skills (communication, leadership, assertivité…)

Ces formations sont également depuis longtemps en format blended learning, mêlant modules théoriques en e-learning, tests, vidéos avec quizz, simulation d’exercice en groupe etc.

Le travail préparatoire ou en intersession offre à l’apprenant la possibilité de s’auto-évaluer puis de se familiariser avec les compétences comportementales à développer pour être ensuite plus réceptif à la mise en pratique.

Au Gymnase, notre formation soft skills Développer son assertivité en est un parfait exemple.

La première partie du programme, « Affirmation de soi : où en suis-je ? », se déroule en 100% e-learning. Les apprenants s’auto-évaluent et c’est en cela que le distanciel / asynchrone est particulièrement utile et pratique ici car ils peuvent prendre le temps de la réflexion.

Une fois cette phase d’introspection réalisée, la suite de la formation se déroule en présentiel (parties #2 et #3 du programme). L’objectif de ces deux parties est de se positionner avec assertivité dans les situations professionnelles quotidiennes, et de répondre avec assertivité en situation tendue et/ou déstabilisante.

L’avantage du présentiel ? Réaliser des exercices, des mises en situation et des jeux de rôles – qui sont toujours débriefés – en conditions réelles pour pouvoir se tester. Cela crée une vraie dynamique de groupe qui stimule les échanges, les débats, les conseils entre pairs…

À la suite de ce temps ensemble, les apprenants repassent en autonomie avec une session e-learning – toujours suivie par le formateur – pour enrichir leurs pratiques en situations tendues.

La fin de la formation, en classe virtuelle, est l’occasion de valider les acquis du e-learning, d’en faire une synthèse collaborative, et d’actualiser le plan de développement individuel de chaque participant. Ici, la modalité synchrone / distancielle est privilégiée car, d’une part, l’objectif est d’échanger, de discuter ; il est donc plus convivial de tous se retrouver en même temps. D’autre part, la durée du REX étant assez courte (généralement 1H30 à 2H), il n’est pas forcément nécessaire de rassembler le groupe physiquement, surtout si les participants viennent de différentes régions. Être « dans la même pièce virtuelle » est amplement suffisant ! 😊

Formations métiers (gestion de projet, vente, management…)

Ces formations générales transverses permettent également d’alterner théorie et pratique, de manière synchrone ou asynchrone en utilisant le meilleur du blended learning.

Les sessions en distanciel enrichissent la qualité du dispositif parce qu’elles permettent à l’apprenant de questionner ses pratiques, d’identifier des axes de travail et de profiter pleinement, lors de sessions présentielles ou classes virtuelles, des apports du formateur, des échanges entre pairs et des exercices. D’ailleurs, environ 40% de nos apprenants soulignent cet avantage dans leur évaluation de fin de formation !

Un exemple au Gymnase : la formation Fondamentaux du management pour la prise de poste des primo-managers, qui alterne classes virtuelles, modules e-learning et parfois séquences en présentiel.

Chaque visio traite un point précis du programme (les essentiels de la prise de poste, comment s’organiser, pratiquer le feedback, préparer et animer des réunions participatives, etc) et est précédée d’un ou deux modules e-learning sur le thème. Cela permet aux apprenants d’introduire le sujet, de se positionner, de prendre du recul…

En visio, le formateur va plus loin, répond à leurs questions, les challenge via des exercices à partir de leur vécu terrain, synthèse les apports. Le e-learning, quant à lui, préparatoire permet d’aller rapidement à l’essentiel.

Programmes d’onboarding

Quoi de mieux, pour un nouvel embauché, que de se familiariser à distance, préalablement à son arrivée, avec la culture d’entreprise, le code de conduite, les règles de sécurité, la présentation de l’activité etc. avant de rencontrer ses futures collègues et responsables en présentiel ?

Formations techniques et réglementaires

Grace aux nouveaux outils de formation à distance, le blended learning va plus loin en s’adressant à des formations digitales qui jusque qu’il y a quelques années ne se réalisaient qu’en salle : des formations sécurité, des habilitations électriques, des certifications pour conduire des chariots etc.

Tout semble ainsi indiquer que le mix présentiel/distanciel et synchrone/asynchrone sera la norme dans tous les domaines… comme il existe déjà dans l’enseignement dans de nombreux pays.

Comment mettre en place une formation en blended learning efficace ?

Les questions à se poser

Pour savoir comment concevoir, adapter ou choisir une formation, la réflexion se structure en plusieurs étapes. Voici quelques questions parmi celles que nous posons, au Gymnase, à nos clients lorsque nous mettons en place une formation :

• Quel est le sens du projet ? La finalité du projet n’étant pas tant de former que d’améliorer la performance de l’organisation grâce au renforcement des compétences du collaborateur, il est important de définir concrètement l’objectif.
• Quels sont les attendus opérationnels pour établir les indicateurs de performance permettant de mesurer l’avant et l’après, à chaud et à froid ?
• Quel est l’existant ? Autrement dit, quelle est la cible, comment “consomme”-t-elle la formation, à quels outils digitaux a-t-elle accès ?
• Quelle est votre implication ? Quel accompagnement êtes-vous prêts à engager et à quel niveau de l’équipe de direction ?
• Quelle communication et par quels vecteurs ? De quelle ressource interne disposez-vous afin de dynamiser le dispositif dans la durée ? Qui participera au pilotage ?
• Quelles modalités pédagogiques faut-il mettre en œuvre ? Quelle part de présentiel et de distanciel est le plus adaptée ? Quels outils mettre en œuvre : social learning, action-training, tutorat…, avec quels moyens internes (formateurs, coachs) ou externes (organisme de formation, éditeur de contenu, LMS etc.) pour former/adapter ou concevoir le programme ? Quels sont vos moyens et le support informatique ? Les formateurs ou coachs sont-ils à l’aise avec les outils digitaux ?
• Quel est votre budget ?

Un équilibre pensé pour l’apprentissage actif

Cette réflexion – que l’on peut avoir en interne avec les RH, l’équipe de direction et/ou les managers comme avec l’aide d’organismes externes – permettra de choisir au mieux le programme, qui, selon la thématique choisie, pourra prendre des formats très divers :

• Classe inversée : les formations sont majoritairement à base de modules en ligne suivis de sessions en présentiel pour mettre en pratique les connaissances et répondre à des questions,
• Présentiel tutoré : Les formations sont essentiellement en groupe en présentiel complétées de modules à distance à réaliser en amont ou en cours de formation pour approfondir tel ou tel point,
• Formation mixte qui alterne à des degrés divers ces 2 modes de fonctionnement,
• Modèle à carte : les apprenants choisissent eux-mêmes dans les modules proposés en ligne et en présentiel, etc.

Dans tous les cas, la diversité des dispositifs permet de concilier autonomie des stagiaires, flexibilité du dispositif, échanges et interactivité entre les apprenants eux-mêmes et entre apprenants et formateurs, mais aussi une variété fournie par les supports et un engagement personnel, garants d’une montée en compétence.

Un point essentiel : adapter le contenu au format mixte.

De la même manière que le formateur doit adapter sa pédagogie au caractère présentiel ou distanciel, le contenu de la formation et les outils utilisés doivent être pensés en fonction de leur utilisation.

À titre d’exemple, au Gymnase, nous utilisons en présentiel des jeux de cartes pédagogiques que les apprenants peuvent manipuler. Animer des classes virtuelles dans ce même esprit de jeu interactif nous a demandé de repenser nos exercices et d’en créer de nouveaux, notamment via l’application Klaxoon.

Choisir les bons outils et plateformes

Un minimum de questionnement technique est nécessaire en amont. Les équipes DSI seront de bon conseil pour aider à choisir la plateforme LMS (360learning, Talentsoft, Cornerstone, Syfadis, Moodle etc.), selon que l’entreprise souhaite ou non concevoir elle-même des contenus, connecter le LMS avec le SIRH etc.

À noter que la norme SCORM reste aujourd’hui une référence pour s’assurer de la compatibilité des modules.

Mettre en place un accompagnement par un formateur / tuteur

L’accompagnement par un formateur / tuteur ne vient pas “en plus”, il est au cœur de l’efficacité d’un dispositif blended learning. Pourquoi ?

Il maintient l’engagement des apprenants : on le sait, l’autonomie a ses limites ; sans accompagnement, de nombreux apprenants procrastinent ou abandonnent. Un tuteur permet de soutenir la motivation, et valoriser les progrès.

Au Gymnase, nous nous donnons une règle : stimuler la participation des apprenants au minimum deux fois par semaine, avec des relances, des quiz, des apports synthétiques, etc. Nous répondons également à chaque question ou commentaire dans la journée.

Dans nos modules e-learning, les activités qui suscitent le plus d’interaction sont les quiz. En effet, les apprenants ont souvent des questions qui demandent au formateur de rentrer dans le détail d’une notion, de reformuler les réponses données aux quiz, et d’apporter d’autres exemples.

Le formateur favorise également le sentiment d’appartenance à un groupe de pairs, ce qui améliore la persévérance, tel cet apprenant qui nous a récemment avoué « chaque soir j’aime bien aller voir les commentaires et les likes de mes collègues sur le forum de la formation ».

Finalement, l’activité des apprenants en distanciel, leurs commentaires, questions, l’expression de leurs difficultés… sont une matière très riche pour le formateur qui va alors l’exploiter lors des séquences présentielles et, dans certains cas, ajuster le contenu pour qu’il corresponde parfaitement aux problématiques des apprenants ou à leur compréhension des thèmes abordés.

Un bon accompagnement transforme donc une formation « en ligne » en une expérience d’apprentissage réussie et humaine.

Conclusion : le blended learning, une réponse aux enjeux actuels de la formation

Alliant efficacité, souplesse et engagement, ce modèle semble être aujourd’hui un des piliers de la nouvelle culture de l’apprentissage, en attendant que de nouveaux outils ou de nouvelles démarches ne fassent évoluer le système en profondeur. Réalité virtuelle et IA ont entamé leur percée. La concrétisation sera-t-elle générale ?

Ce qui est sûr, c’est que les outils et pratiques qui favoriseront l’apprentissage initial et continu ont de beaux jours devant eux. Tout un programme…